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Images SEO : 7 conseils pour optimiser votre site web (2025)

Images SEO : 7 conseils pour optimiser votre site web (2025)

5 minutes

Dernière mise à jour :

April 15, 2025

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L'optimisation des images, ou « image SEO », est une étape essentielle pour améliorer la référencement naturel de votre site web. En optimisant vos images, vous boostez non seulement leur visibilité dans les résultats de recherche, mais aussi l'expérience utilisateur et le trafic vers votre site.

Avec des milliards de recherches mensuelles sur Google Images, il est essentiel de savoir comment tirer parti de ce potentiel. L'image SEO inclut des pratiques comme la nomination des fichiers, l'utilisation de l'attribut ALT, la compression des images, le choix du bon format, l'adaptation au responsive design et l'ajout de données structurées. Ces optimisations, alignées avec les tendances SEO, accélèrent le chargement de vos pages tout en aidant les moteurs de recherche à indexer vos images.

Découvrez dans cet article de notre agence webflow 7 conseils pratiques pour utiliser vos images comme un levier puissant de votre stratégie SEO. Et si vous souhaitez en savoir plus sur notre agence webflow, cliquez-ici !


1. Choisir le bon format d’image

Formats classiques vs formats modernes

Lorsque vous optimisez vos images pour le web, le choix du format d'image est essentiel. Les formats classiques comme JPEG, PNG et GIF ont longtemps dominé, mais avec les progrès technologiques, des formats modernes offrent désormais des performances supérieures et une meilleure compression.

Les formats classiques restent utiles dans certains cas spécifiques. Par exemple, JPEG est parfait pour les photographies et les images riches en couleurs grâce à sa compression avec perte, qui réduit la taille des fichiers tout en maintenant une qualité acceptable.

De son côté, PNG est idéal pour les graphiques nécessitant de la transparence ou des contours nets. Cependant, il génère souvent des fichiers plus volumineux que JPEG.

Pourquoi WebP et AVIF sont devenus essentiels en 2025 ?

Les formats modernes comme WebP et AVIF ont révolutionné l'optimisation des images. Ils permettent une compression sans perte ou avec perte, réduisant considérablement la taille des fichiers tout en préservant ou même en améliorant la qualité des images comparativement aux formats classiques.

Par exemple, WebP prend en charge les deux types de compression (avec et sans perte), offrant des fichiers plus petits tout en maintenant une qualité comparable ou supérieure à celle des formats JPEG et PNG. Quant à AVIF, il est reconnu pour sa compression avancée et sa qualité remarquable, et il est désormais compatible avec la majorité des navigateurs.

Quand utiliser quel format ?

Le choix du format dépend du type d'image et de son usage. Voici quelques recommandations :

- JPEG : Idéal pour les photographies et les images riches en couleurs. Ce format est particulièrement adapté lorsque la réduction de la taille du fichier est une priorité.

- PNG : Parfait pour les graphiques nécessitant de la transparence ou des contours nets, comme les logos, icônes et images avec des arrière-plans transparents.

- WebP/AVIF : Recommandés pour les sites web qui nécessitent des images de haute qualité avec des tailles de fichiers réduites. Ces formats optimisent les performances tout en offrant une excellente qualité visuelle.

- GIF : Convient pour les animations simples, mais il est déconseillé pour les images statiques en raison de sa palette de couleurs limitée.

- SVG : Idéal pour les graphiques vectoriels comme les logos, icônes et illustrations. Ce format permet un redimensionnement sans perte de qualité.

Outils pour convertir vos images efficacement

Pour convertir vos images dans des formats modernes, plusieurs outils sont à votre disposition. Les plugins comme Smush pour WordPress ou TinyIMG pour Shopify facilitent l'optimisation et la conversion en WebP ou AVIF, tout en réduisant la taille des fichiers et en améliorant les performances de votre site web.

Des outils en ligne tels que ImageOptim ou des CDN spécialisés dans l'optimisation des images peuvent également automatiser la détection du meilleur format pour chaque navigateur et effectuer les conversions nécessaires. Cette approche simplifie le processus tout en garantissant que vos images sont toujours servies dans le format le plus adapté à chaque utilisateur.

2. Redimensionner et compresser les images

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L’impact de la taille d’image sur les performances web

La taille des images joue un rôle clé dans les performances de votre site web. Des images trop volumineuses contiennent davantage de données, ce qui peut ralentir considérablement les temps de chargement. Cette lenteur peut frustrer vos visiteurs et les pousser à quitter votre site avant qu'il ne soit complètement chargé.

En réalité, les images représentent souvent l'une des plus grandes ressources chargées par un navigateur. Leur poids peut influencer directement des métriques essentielles telles que le Largest Contentful Paint (LCP) et le Cumulative Layout Shift (CLS), qui sont des indicateurs de performance.

Par ailleurs, des images mal dimensionnées peuvent provoquer des problèmes d'affichage sur les appareils mobiles. Sur ces écrans plus petits, cela peut engendrer des images déformées ou des chargements lents, ce qui nuit à l'expérience utilisateur, augmente les taux de rebond et impacte négativement votre référencement naturel.

Compression avec ou sans perte : que choisir ?

La compression des images est une étape incontournable pour réduire leur taille de fichier tout en préservant leur qualité. Deux types de compression existent : avec perte et sans perte.

La compression avec perte, couramment utilisée pour les formats comme JPEG, réduit la taille du fichier en supprimant certaines données de l'image. Elle est idéale pour les photographies, mais il est essentiel de trouver un équilibre entre la réduction de taille et la qualité visuelle. Une compression excessive peut entraîner une perte de détails et une dégradation de la qualité.

En revanche, la compression sans perte, adaptée aux formats comme PNG, conserve toutes les données de l'image tout en diminuant la taille du fichier. Cependant, les fichiers PNG compressés sans perte restent souvent plus volumineux que les fichiers JPEG compressés avec perte, ce qui les rend moins pratiques pour les images contenant de nombreuses couleurs.

Outils recommandés pour la compression

Pour compresser vos images sans compromettre leur qualité, plusieurs outils performants sont à votre disposition. TinyPNG et ImageMin sont des solutions en ligne populaires qui utilisent des techniques de compression avancées pour réduire la taille des fichiers JPEG et PNG.

Ces outils éliminent les métadonnées inutiles et réduisent le nombre de couleurs dans l'image, permettant ainsi une réduction significative de la taille du fichier tout en préservant la qualité visuelle.

Pour les sites WordPress, des plugins comme ShortPixel offrent une optimisation automatique des images en arrière-plan. Ils peuvent convertir vos fichiers dans des formats modernes comme WebP ou AVIF, tout en appliquant le lazy loading pour améliorer les temps de chargement de vos pages.

Intégrer l’optimisation dans votre workflow

Pour que l'optimisation des images devienne un processus fluide, il est indispensable de l'automatiser autant que possible. Utilisez des outils capables de redimensionner et compresser vos images dès leur téléchargement sur votre site.

Par exemple, configurez des plugins qui compressent et redimensionnent automatiquement vos fichiers dès leur ajout à votre bibliothèque de médias.

En complément, intégrez une vérification régulière des images dans votre routine de maintenance. Supprimez les fichiers obsolètes et optimisez ceux dont la taille dépasse 500 KB. Cette approche garantit des performances web optimales tout en offrant des images de haute qualité adaptées à votre site.

3. Renommer ses fichiers de manière descriptive

Pourquoi le nom de fichier est important pour le SEO

Le nom de fichier d’une image joue un rôle dans l’optimisation SEO (Search Engine Optimization). Les moteurs de recherche, comme Google, s’appuient sur ces noms pour comprendre le contenu et la pertinence de l’image par rapport au contexte de la page web. Un nom de fichier descriptif et riche en mots-clés permet aux moteurs de recherche d’indexer plus précisément votre contenu, améliorant ainsi votre visibilité dans les résultats de recherche.

De plus, un nom de fichier bien choisi améliore l’expérience utilisateur. Il fournit des informations claires sur le contenu de l’image, même si celle-ci ne peut pas être affichée. Cela est particulièrement utile pour les utilisateurs qui naviguent avec des lecteurs d’écran ou sur des connexions lentes.

Exemples concrets de bons et mauvais noms de fichiers

Voici quelques exemples pour distinguer de bons et de mauvais noms de fichiers :

- Mauvais exemple : `IMG_1234.jpg` ou `photo.jpg`. Ces noms génériques n’apportent aucune information sur le contenu de l’image et sont inutiles pour les moteurs de recherche.

- Bon exemple : `red-sports-car.jpg` ou `strawberry-ice-cream.jpg`. Ces noms de fichiers sont descriptifs et incluent des mots-clés pertinents, aidant les moteurs de recherche à comprendre le contenu de l’image et à l’associer aux requêtes appropriées.

Automatiser le renommage d’images

Pour gagner du temps, il est possible d’automatiser le processus de renommage des images grâce à des outils et plugins. Par exemple, si vous utilisez WordPress, des plugins comme Yoast SEO ou Rank Math permettent de renommer les images de manière descriptive lors de leur téléchargement. Ces outils peuvent également optimiser d’autres aspects des images, comme la compression ou l’ajout de texte alternatif.

En outre, certaines plateformes de gestion de contenu et des CDN (Content Delivery Network) proposent des fonctionnalités pour automatiser le renommage et l’optimisation des images. Cela permet de gagner du temps tout en assurant une cohérence dans vos pratiques de nommage.

Bonnes pratiques SEO pour le nommage

Pour optimiser vos noms de fichiers, suivez ces bonnes pratiques :

- Utilisez des mots-clés pertinents : Choisissez des mots-clés qui décrivent précisément le contenu de l’image. Évitez toutefois le keyword stuffing en variant les termes et en utilisant des synonymes.

- Séparez les mots avec des traits d’union : Privilégiez les traits d’union pour séparer les mots dans le nom de fichier. Par exemple, `bernese-mountain-dog.jpg` est préférable à `Bernese Mountain Dog.jpg` ou `bernese_mountain_dog.jpg`.

- Utilisez des lettres minuscules : Les minuscules sont recommandées pour éviter les problèmes liés à la casse dans les URL et pour maintenir une cohérence.

- Gardez les noms courts : Limitez vos noms de fichiers à cinq ou six mots maximum. Cela les rend à la fois courts et descriptifs.

4. Utiliser l’attribut ALT intelligemment

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Le rôle du ALT dans le SEO et l’accessibilité

L’attribut ALT joue un rôle important à la fois dans le référencement naturel (SEO) et dans l’accessibilité des sites web. En SEO, il permet aux moteurs de recherche comme Google de comprendre le contenu des images, ce qui aide à les indexer et à classer les pages web selon leur pertinence. Les robots de Google analysent les attributs ALT pour obtenir des informations sur le contenu visuel de la page, renforçant ainsi la position de l’image dans les résultats de recherche.

D’un point de vue accessibilité, l’attribut ALT est essentiel pour les utilisateurs malvoyants ou ceux utilisant des lecteurs d’écran. Il fournit une description textuelle de l’image, permettant à ces utilisateurs de comprendre le contenu visuel de la page, même si l’image ne peut être affichée.

Cette pratique améliore significativement l’expérience utilisateur et répond aux normes d’accessibilité web.

Comment rédiger un ALT efficace

Pour rédiger un attribut ALT efficace, il est important de suivre quelques principes clés :

- Utiliser des mots-clés pertinents : Incluez des mots-clés qui décrivent précisément le contenu de l’image et qui sont pertinents par rapport au sujet de la page. Cela aide les moteurs de recherche à comprendre le contexte de l’image et à améliorer son positionnement dans les résultats de recherche.

- Restez concis et clair : Les attributs ALT doivent être courts et précis. Privilégiez des phrases courtes, idéalement entre 5 et 15 mots, pour fournir une description claire et rapide de l’image.

- Évitez le stuffing de mots-clés : Ne surchargez pas l’attribut ALT avec trop de mots-clés. Cela peut être considéré comme une technique abusive et nuire à l’expérience utilisateur ainsi qu’au référencement de votre site.

Erreurs courantes à éviter

Il existe plusieurs erreurs courantes à éviter lors de la rédaction des attributs ALT :

- Omettre l’attribut ALT : Toutes les images doivent avoir un attribut ALT, même celles qui semblent moins importantes. L’absence d’attribut ALT peut impacter négativement le référencement et l’accessibilité de votre site.

- Utiliser le même texte alternatif pour plusieurs images : Chaque image doit avoir un attribut ALT unique et personnalisé. Réutiliser le même texte pour plusieurs images peut donner une impression de duplicité et affecter votre positionnement dans les résultats de recherche.

- Négliger l’orthographe et la syntaxe : Assurez-vous que les attributs ALT sont bien orthographiés et exempts de fautes grammaticales. Cela maintient une image professionnelle et optimise l’expérience utilisateur.

ALT vs Titre d’image : ne pas confondre

Il est important de ne pas confondre l’attribut ALT avec le titre d’image. L’attribut ALT est une description textuelle de l’image, utilisée par les moteurs de recherche et les lecteurs d’écran, tandis que le titre d’image est une légende qui apparaît lorsque l’utilisateur passe la souris sur l’image. Le titre d’image n’est pas lu par les moteurs de recherche et ne remplace pas l’attribut ALT.

Utilisez l’attribut ALT pour fournir une description fonctionnelle et descriptive de l’image, et le titre d’image pour ajouter des informations supplémentaires ou des contextes qui peuvent être utiles pour les utilisateurs, mais qui ne sont pas essentiels pour le référencement ou l’accessibilité.

5. Adapter les images au responsive design

L’importance du responsive en 2025

En 2025, le design responsive est plus important que jamais pour offrir une expérience utilisateur fluide et cohérente sur tous les appareils. Avec la diversité croissante des dispositifs connectés – smartphones, tablettes, ordinateurs de bureau, et même des objets connectés (IoT) – il est essentiel que vos images s’ajustent dynamiquement aux différentes tailles d’écran et résolutions.

Un design responsive garantit que votre site web reste accessible et utilisable pour tous, améliorant ainsi l’engagement des utilisateurs et les performances SEO. Les internautes s’attendent à des expériences rapides, fonctionnelles et esthétiques. Un site mal adapté aux différents appareils risque de les décourager, entraînant un taux d’abandon plus élevé. Par conséquent, respecter les normes du design responsive est désormais indispensable pour maintenir une présence en ligne compétitive.

Techniques pour adapter les images (srcset, sizes)

Pour rendre vos images parfaitement adaptées au design responsive, plusieurs techniques peuvent être mises en œuvre :

  • Utilisation de l’attribut srcset : Cet attribut permet de spécifier plusieurs versions d’une image à différentes résolutions. Le navigateur choisit automatiquement la version la plus adaptée en fonction de la taille de l’écran et de la densité de pixels. Par exemple : <img src="image.jpg" srcset="image-small.jpg 300w, image-medium.jpg 600w, image-large.jpg 1200w" />
  • Utilisation de l’attribut sizes : Associé à srcset, cet attribut définit les tailles d’écran pour lesquelles chaque version de l’image sera utilisée. Par exemple : <img sizes="(max-width: 600px) 100vw, 50vw" src="image.jpg" srcset="image-small.jpg 300w, image-medium.jpg 600w, image-large.jpg 1200w" />
  • CSS Media Queries : Les requêtes média CSS permettent d’ajuster les styles en fonction de la taille de l’écran, ce qui inclut l’adaptation des images et du layout. Exemple : @media (max-width: 768px) { img { width: 100%; } }

Exemples de mise en œuvre (notamment avec Webflow)

La mise en œuvre d’images responsives peut être simplifiée grâce à des outils et plateformes modernes comme Webflow. Si vous travaillez avec une agence Webflow, vous pouvez exploiter leurs compétences pour tirer parti de fonctionnalités avancées qui garantissent que vos images soient optimisées pour tous les écrans. Voici quelques exemples :

  • Avec Webflow : Webflow facilite la création de designs responsives grâce à une interface intuitive. Vous pouvez définir des breakpoints pour différentes tailles d’écran et ajuster les propriétés des images. Par exemple, configurez une image pour occuper 100% de la largeur de l’écran sur mobile et 50% sur un ordinateur de bureau.
  • Exemple de code pratique : Voici un exemple combinant srcset, sizes et CSS : <img sizes="(max-width: 600px) 100vw, 50vw" src="image.jpg" srcset="image-small.jpg 300w, image-medium.jpg 600w, image-large.jpg 1200w" /> @media (max-width: 768px) { img { width: 100%; } } Cet exemple garantit que l’image s’adapte à la taille de l’écran tout en chargeant la version la plus appropriée. Cela minimise les temps de chargement et améliore l’expérience utilisateur.

6. Mettre en place le lazy loading

Définition et fonctionnement du lazy loading

Le lazy loading, ou « chargement différé », est une technique permettant de retarder le chargement des ressources non critiques d’une page web jusqu’à ce qu’elles soient réellement nécessaires. Contrairement au chargement anticipé (eager loading), qui charge toutes les ressources simultanément, le lazy loading attend que l’utilisateur fasse défiler la page ou interagisse de manière spécifique pour charger les contenus multimédias, comme les images et les vidéos.

Cette méthode identifie les ressources non bloquantes (non critiques) et ne les charge que lorsqu’elles sont nécessaires. Cela permet de raccourcir le chemin de rendu critique et de réduire les temps de chargement de la page.

Bénéfices SEO et UX du lazy loading

Le lazy loading offre de nombreux avantages, à la fois pour l’expérience utilisateur (UX) et pour le référencement naturel (SEO) :

- Amélioration de l’expérience utilisateur : En chargeant en priorité les ressources visibles, le lazy loading accélère l’affichage de la page, ce qui améliore la navigation et réduit le taux de rebond. Les utilisateurs peuvent ainsi interagir avec le contenu plus rapidement, augmentant leur satisfaction et leur engagement.

- Économie de bande passante : En ne chargeant que les ressources visibles initialement, cette technique réduit la consommation de bande passante. Cela est particulièrement utile pour les utilisateurs disposant de connexions lentes ou de forfaits de données limités.

- Impact positif sur le SEO : Une vitesse de chargement accrue grâce au lazy loading peut améliorer les performances SEO, car les moteurs de recherche comme Google tiennent compte de ce critère dans leurs algorithmes de classement.

Comment l’intégrer facilement sur un site moderne

Il existe plusieurs méthodes pour intégrer le lazy loading sur un site moderne :

- Lazy loading natif : Les navigateurs modernes comme Google Chrome, Firefox, Edge et Opera supportent cette fonctionnalité nativement. Il suffit d’ajouter l’attribut loading="lazy" aux balises <img> et <iframe>. Par exemple :

<img src="exemple.png" loading="lazy" alt="..."><iframe src="https://exemple-domaine.fr" loading="lazy"></iframe>

Cette méthode permet au navigateur de gérer le chargement différé sans nécessiter de bibliothèque JavaScript supplémentaire.

- Utilisation de plugins et bibliothèques JavaScript : Pour les sites nécessitant une plus grande flexibilité ou pour les anciens navigateurs, des plugins comme LazyLoad ou Lazy Load Remastered peuvent être utilisés. Ces scripts permettent de charger les images et vidéos de manière différée tout en offrant des effets visuels attractifs.

Astuces pour un lazy loading optimal

Voici quelques conseils pour optimiser l’utilisation du lazy loading :

- Identifier les ressources non critiques : Analysez quelles images et vidéos ne sont pas immédiatement visibles lors de l’ouverture de la page et appliquez le lazy loading uniquement à ces éléments. Cela garantit que le contenu principal est chargé en premier.

- Utiliser l’API Intersection Observer : Cette API détecte quand un élément entre ou sort de la zone de visualisation (viewport) du navigateur. Cela permet de charger les ressources de manière plus précise et efficace.

- Éviter les problèmes de backtracking : Assurez-vous que la structure de votre page est bien optimisée pour éviter des problèmes de navigation ou de chargement des ressources. Une bonne organisation des contenus améliore l’expérience utilisateur.

- Tester et ajuster : Testez le lazy loading sur différents dispositifs et navigateurs pour vous assurer de son bon fonctionnement. Ajustez les paramètres si nécessaire pour maximiser les performances et offrir une expérience utilisateur optimale.

7. Ajouter des données structurées (Schema.org)

Pourquoi enrichir ses images avec du balisage sémantique

Enrichir vos images avec du balisage sémantique à l'aide de Schema.org peut significativement améliorer la visibilité et la compréhension de votre contenu par les moteurs de recherche. Ce balisage fournit des métadonnées structurées qui aident les algorithmes de recherche à mieux comprendre le contexte et le contenu de vos images. Cela peut augmenter les chances que vos images apparaissent dans les résultats de recherche, notamment dans Google Images.

Ce balisage sémantique est également bénéfique pour l’accessibilité et l’expérience utilisateur. Il fournit des informations supplémentaires qui peuvent être utilisées par les lecteurs d’écran et autres technologies d’assistance, contribuant ainsi à une expérience plus inclusive et enrichissante pour tous les utilisateurs.

Le rôle de schema.org/ImageObject

Le type ImageObject de Schema.org est spécifiquement conçu pour décrire des images de manière détaillée. Il permet de fournir des informations telles que :

  • l’URL de l’image,
  • sa largeur et sa hauteur,
  • une légende ou une description,
  • et même des métadonnées comme la langue du texte associé à l’image.

Les propriétés requises pour un ImageObject incluent :

  • @type,
  • @id,
  • url,
  • et contentUrl, qui doivent tous pointer vers l’URL absolue de l’image.

Des propriétés optionnelles comme caption, height, width, et inLanguage peuvent également être ajoutées pour fournir plus de contexte.

Tutoriel d’implémentation avec JSON-LD

Implémenter le balisage sémantique avec JSON-LD est relativement simple. Il suffit d’ajouter un script dans la section <head> ou <body> de votre page web. Voici un exemple de balisage pour un ImageObject :

<script type="application/ld+json">{ "@context": "https://schema.org", "@graph": [ { "@type": "ImageObject", "@id": "https://www.example.com/uploads/example-image.jpg", "url": "https://www.example.com/uploads/example-image.jpg", "contentUrl": "https://www.example.com/uploads/example-image.jpg", "caption": "Example caption", "inLanguage": "en-US", "height": 120, "width": 120 } ]}</script>

Cet exemple montre comment décrire une image avec les propriétés requises et optionnelles. Cela aide les moteurs de recherche à comprendre et à indexer l’image de manière plus précise.

Effets positifs sur la visibilité dans Google Images

L’ajout de données structurées à vos images peut avoir des effets positifs significatifs sur leur visibilité dans Google Images. Les images bien décrites avec du balisage sémantique sont plus susceptibles d’apparaître dans les résultats de recherche visuels, ce qui peut augmenter le trafic vers votre site web et améliorer votre positionnement SEO.

De plus, Google peut afficher des informations supplémentaires dans les résultats de recherche, comme des légendes ou des descriptions. Cela rend vos images plus attractives et engageantes pour les utilisateurs, améliorant ainsi les taux de clics et de conversion. Les utilisateurs auront une meilleure idée de ce qu’ils vont trouver en cliquant sur l’image, ce qui renforce leur intérêt.

Conclusion

En résumé, optimiser les images pour le SEO est une stratégie essentielle et multifacette qui peut significativement améliorer la visibilité et les performances de votre site web. Travailler avec un expert Webflow peut également maximiser vos résultats en combinant une gestion experte des outils de Webflow avec les meilleures pratiques d'optimisation d'image pour le SEO.

De plus, il est important d’adapter vos images au design responsive, d’implémenter le lazy loading, et d’ajouter des données structurées via Schema.org. Ces actions jouent un rôle clé dans l’amélioration globale de votre site.

En appliquant ces bonnes pratiques, vous pouvez non seulement améliorer la vitesse de chargement de votre site, mais aussi améliorer l’expérience utilisateur et augmenter votre trafic organique. Pensez à tester et ajuster régulièrement vos stratégies pour garantir une optimisation continue.

Ne perdez plus de temps : commencez dès aujourd’hui à mettre en œuvre ces pratiques pour constater une amélioration notable dans vos résultats SEO.

Rappelez-vous, l’optimisation des images n’est pas une tâche ponctuelle, mais un processus continu qui nécessite une attention régulière. En intégrant ces meilleures pratiques dans votre workflow, vous pouvez transformer vos images en un véritable atout stratégique pour votre SEO et attirer davantage de trafic qualifié vers votre site.

FAQ – Optimisation des images SEO

Qu’est-ce que le SEO des images ?

Le SEO des images, ou "image SEO", désigne l’ensemble des techniques permettant d’optimiser les images pour améliorer leur visibilité dans les résultats de recherche (notamment Google Images) et contribuer au bon positionnement des pages web. Cela inclut notamment la structure du fichier, les métadonnées, le poids de l’image et son accessibilité.

Les images influencent-elles le référencement naturel ?

Oui. Une image bien optimisée peut apparaître dans Google Images, générer du trafic qualifié et améliorer l’expérience utilisateur. À l’inverse, des images trop lourdes ou mal configurées peuvent ralentir le site, nuire à ses performances Core Web Vitals, et impacter négativement le classement SEO.

Comment ajouter du SEO à une image ?

Pour optimiser une image en SEO, il faut :

  • lui donner un nom de fichier clair et descriptif, contenant des mots-clés ;
  • renseigner un attribut ALT pertinent et unique ;
  • utiliser un format adapté (WebP ou AVIF de préférence) ;
  • activer le lazy loading pour les images hors écran ;
  • adapter l’image aux différentes tailles d’écran (responsive) ;
  • intégrer des données structurées (Schema.org) si pertinent.

Quel format d’image est recommandé pour un bon SEO ?

Les formats modernes WebP et AVIF sont à privilégier, car ils offrent une excellente qualité avec un poids réduit. JPEG reste pertinent pour les photographies, tandis que PNG est utile pour les visuels nécessitant de la transparence. Le format SVG est idéal pour les icônes et les logos vectoriels.

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